Patrick Poivre d’Arvor : accusé de viols
Nous vous disions que Acrobate94, l’influenceur et finaliste de Ninja Warrior, était accusé de viol et violences sur sa compagne. Cette fois, c’est Patrick Poivre d’Arvor qui fait face à de telles accusations. Nos confrères du Parisien ont révélé qu’une enquête a été ouverte par le parquet de Nanterre pour « viols », après le dépôt d’une plainte de la part de Florence Porcel. Les faits remontent à 2004 : cette ancienne youtubeuse, chroniqueuse et écrivaine était alors âgée de 21 ans. Admirative de la carrière du journaliste, elle l’avait contacté pour discuter de cela avec lui. Le présentateur du 20 heures l’aurait contactée en retour et n’aurait pas hésité à lui poser des questions indiscrètes : notamment sur ses pratiques sexuelles et ses vêtements…
La trentenaire a déposé plainte pour deux viols : un rapport sexuel non consenti en 2004 et une fellation sans protection imposée en 2009. Le premier viol se serait déroulé dans le bureau de Patrick Poivre d’Arvor au siège de TF1 à Boulogne-Billancourt, après un journal télévisé. La seconde agression aurait eu au siège de la société de production A Prime Group, des années plus tard. Des faits que nie fermement Patrick Poivre d’Arvor. Ce dernier a décidé de s’exprimer pour la première fois.
Patrick Poivre d’Arvor prend la parole
C’est sur Facebook que ce dernier a répondu à ces accusations. « Il n’y a jamais eu aucune forme d’emprise, ni a fortiori de contrainte. Les écrits de Madame Florence Porcel que j’ai conservés, pour la plupart postérieurs à ses accusations, le prouveront amplement (…). De toute ma vie je n’ai jamais obligé quiconque à une relation sentimentale, ni bien évidemment à une relation sexuelle. J’ai découvert avec stupéfaction les accusations de madame Florence Porcel relayées avec complaisance par un quotidien…. », a-t-il notamment rédigé.
PPDA dénonce à ce propos, comme il l’a déjà fait via son avocat, l’utilisation faite de sa personne « pour assurer la promotion d’un roman ». Il a alors écrit : « La recherche de notoriété n’excuse pas tout. Pas davantage la fascination pour ce qui brille. J’entretenais jusqu’alors avec elle des relations confraternelles et partageais son goût pour la littérature. Plusieurs fois je l’ai soutenue lorsqu’elle publiait des livres ou lors de ses démêlés avec des journalistes. (…) Pour moi, la défense de la cause des femmes a toujours été un sujet de première importance. Je vis donc très douloureusement ces attaques. Et ma famille comme mes proches les jugent insupportables ».
Par ailleurs, nous vous disions que Nehuda accausait Ricardo de violences conjugales pendant qu’elle enceinte et que ce dernier avait répondu à ces accusations.