Le 20 novembre dernier, Pierre Palmade recevait sa sentence. Jugé pour son implication dans un grave accident de la route alors qu’il était sous l’emprise de stupéfiants, il écope de 5 ans de prison, dont deux ans ferme. L’humoriste avait percuté de plein fouet un véhicule dans lequel un homme, un enfant et une femme enceinte se trouvaient. Les occupants de la voiture sont tous grièvement blessés, et le bébé à naître ne survit pas à l’accident.
Pierre Palmade purge sa peine à la prison de Bordeaux-Gradignan, où il entre le 9 décembre dernier. Mais depuis son arrivée dans le centre pénitentiaire, c’est tout un système qui est perturbé. En raison de son profil, l’humoriste est incarné dans un quartier spécialisé, où il dispose d’une cellule individuelle tout juste repeinte. Pour assurer sa sécurité, Pierre Palmade est isolé des autres détenus et effectue ses promenades seul. Mais sa notoriété influe également sur les conditions de travail du personnel pénitentiaire.
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Les gardiens de Pierre Palmade à bout de nerfs
Dans une prison déjà surpeuplée, où 3 détenus doivent se partager une cellule de 9 m2 prévue pour un, les journées des gardiens sont déjà bien remplies. Mais lorsqu’une personnalité publique intègre les rangs des prisonniers, le travail du personnel pénitentiaire est encore plus complexe. L’humoriste étant placé à l’isolement, les gardiens doivent le surveiller de près à chacune de ses sorties pour assurer sa sécurité. Des précautions qui ne sont définitivement pas de trop, notamment après des incidents survenus récemment.
Un individu dont l’identité reste inconnue se serait introduit dans la prison en se faisant passer pour un représentant du personnel. L’homme a souhaité rendre visite à l’humoriste, qui s’est vite aperçu de la supercherie. Mais la notoriété de Pierre Palmade implique également une quantité de travail supplémentaire imprévisible. Chaque jour, l’humoriste reçoit des lettres et colis que les surveillants doivent vérifier un à un, pour s’assurer que rien d’illicite ne s’y trouve.
Une obsession qui affecte le personnel pénitentiaire
Malheureusement, un nouveau problème vient davantage compliquer la tâche de l’équipe pénitentiaire. Désormais sevré, l’ancien toxicomane aurait développé une nouvelle addiction derrière les barreaux. Pierre Palmade est aujourd’hui obsédé par le sucre. Une fixation qu’il satisfait en consommant du chocolat. Ayant gardé un certain nombre de fervents admirateurs, l’humoriste reçoit donc des colis remplis d’aliments sucrés. Ce qui transforme sa cellule en véritable « room service », selon les surveillants de la prison.
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Si cette nouvelle dépendance a le mérite d’être légale, elle n’en est pas moins dangereuse pour sa santé. En outre, elle participe à rendre la mission des gardiens toujours plus ardue. Car ces colis doivent eux aussi être inspectés avec soin, alors qu’ils assument déjà une importante charge de travail. Une situation qui agace de plus en plus à la prison de Bordeaux-Gradignan, alors que le reste des détenus doivent subir des conditions de détention critiques.
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