Poupette : dans le viseur des députés
Il y a quelques mois, Kenza alias Poupette vivait une des périodes les plus compliquées de sa vie. Et pour cause, en se réveillant un matin, elle découvrant que son fils âgé de 9 mois avait une boule au niveau de sa tête. Ni une ni deux, elle a alerté ses abonnés avant de filer aux urgences.
Très vite, les médecins diagnostiquent un hématome sous-dural. Il sera alors pris en charge mais en parallèle le comportement de Poupette soulève des interrogations sur la toile. Comment Khalis a pu avoir cet hématome sans qu’elle ne s’en aperçoive ? Pourquoi a-t-il dormi aussi tard le jour même ? Autant de questions qui sont arrivées jusqu’aux services sociaux qui ont pris ce dossier très au sérieux.
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On lui retire alors la garde de son fils durant quelques jours, pour que les services compétents puissent enquêter. Très vite, ils se rendent compte que Khalis est heureux auprès de sa maman, de son père et de Seyana, sa grande soeur. Il a pu rentrer chez lui au bout de deux semaines. Kenza, elle, l’affirme : elle n’a jamais fait tomber son fils.
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Poupette rétorque !
Il y a quelques jours, cette affaire est revenue sur le tapis. Et pour cause, la députée Renaissance du Rhône Sarah Tanzilli a publié le 18 mai dernier un tweet dans lequel elle annonce voir saisi le procureur pour étudier de cas de Poupette Kenza.
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Suite à la diffusion par l'influenceuse #PoupetteKenza d’images de ses enfants s'apparentant à de la #pédopornographie, j'ai saisi avec mon collègue Bruno Studer le procureur de Rouen.
Jamais une mère ne peut ainsi exhiber son enfant. Face à ça, nous devons être intraitables. pic.twitter.com/vNW1GbXVOM
— Sarah Tanzilli (@sarah_tanzilli) May 17, 2023
Le journaliste Sam Zirah s’est tourné vers la jeune maman pour avoir sa version. S’il l’a invitée sur son plateau, elle lui a répondu par message qu’elle préférait laisser la justice faire son travail. Une justice en laquelle elle croit et qui, elle espère, prendra les mesures nécessaires.
Kenza (qui a fait parler d’elle au Festival de Cannes) souligne qu’elle subit un cyber-harlèment atroce depuis qu’on l’a jetée en pâture sur la toile. Elle a par ailleurs écrit à Sam Zirah :
Je n’ai plus la force de me battre contre toute cette haine et cette injustice. Il faut le vivre pour le comprendre.
La maman de Khalis et Seyana l’affirme, c’est elle la victi.me de cette affaire :
Je n’accepte pas qu’on puisse m’utiliser à des fins politiques et publiques parce que je suis une maman influenceuse. Le cyberharcèlement que je subis quotidiennement n’alarme aucune autorité visiblement. La preuve, des personnalités publiques et les médias l’alimentent sans cesse en toute impunité.
Poupette a confirmé la plainte contre la député pour dénonciations calomnieuses et diffamation publique. Et elle a précisé avoir sensibilisé ses abonnés sur le fléau qu’est le cyberharcèlement et les peines encourues.
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