Poupette Kenza enceinte de 8 mois : sur le point d’accoucher en prison ?

Depuis le début du mois de juillet, l’influenceuse à succès Poupette Kenza dort en prison. Selon les faits qui lui sont reprochés, la mère de famille aurait engagé un homme de main pour faire pression sur son ancienne agente, Caroline, et son mari Walid. Le but ? Récupérer une somme à hauteur de 350 000 euros que Kenza Benchriff l’accuse de lui avoir volée. Et depuis l’incarcération de cette dernière, les rebondissements s’enchaînent.

Recherché depuis l’interpellation de Poupette Kenza, son mari, Allan, s’est finalement rendu aux autorités le 23 septembre dernier. Mais cette reddition soudaine cause plus de discorde qu’autre chose. En effet, la jeune femme tente entièrement de faire porter le chapeau au père de ses enfants. De son côté, Allan ne s’accable pas totalement. « Il reconnaît son implication, mais n’endosse pas toute la responsabilité » confie son avocat, maître Hugues Vigier.

Poupette Kenza ne se sent pas à sa place

Dès lors qu’elle a été mise en examen, Poupette Kenza n’a cessé de répéter qu’elle n’a pas « sa place » derrière les barreaux et que ses enfants lui manquent. Le 4 juillet, elle avait déploré : « Je suis enceinte de 5 mois et les odeurs je ne les supporte pas (…) Dans la geôle, on m’a reconnue et je me suis fait appeler toute la soirée (…), je suis très angoissée ». Et là n’est pas la seule frayeur de la jeune maman.

Le 5 juillet, toujours en garde à vue, Poupette s’est inquiétée de ne plus sentir son bébé bouger. Puis, le lendemain, elle a fait une réaction à un plat de pâtes aux champignons. « Je ne vais pas tenir, j’en peux plus », a-t-elle craqué. Incarcérée à la prison de Rouen depuis maintenant trois mois, la jeune femme est placée dans la « nurserie ». Il s’agit d’une cellule individuelle réservée aux femmes enceintes.

L’influenceuse sur le point d’accoucher en prison ?

Dans la « nurserie », Poupette Kenza dispose d’une cellule plus grande que les autres détenues qu’elle est chargée d’entretenir. À l’intérieur : une douche avec de l’eau chaude, des WC et même un coin cuisine. Les autres prisonnières, elles, se lavent en collectivité. De plus, son statut de femme enceinte lui octroie une promenade quotidienne solitaire d’une heure. Johan Prost, secrétaire local du syndicat pénitentiaire, assure tout de même qu’elle « n’a pas de traitement de faveur parce qu’elle est connue, c’est une détenue lambda ».

Mais avec toutes ces mesures prises à son encontre, une question perdure. Poupette Kenza, enceinte de huit mois, pourrait-elle accoucher en prison ? « Ce scénario est inenvisageable » pour son avocat. Celui-ci a bon espoir qu’elle sorte de détention à temps, de même que pour son mari. S’il regrette les actes dont ses clients sont accusés, maître Huges Vigier affirme qu’« ils n’ont frappé personne ». En ce qui concerne la future maman, elle a clamé plusieurs fois : « Je ne veux pas accoucher en prison ! ». Mais le terme approche…  Affaire à suivre.

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— kawtar (@kawtarkawtar_) October 10, 2024