1. Accueil
  2. People

Rachel Legrain-Trapani : accusée d’exil fiscal, elle s’exprime pour la première fois

par Lola

Rachel Legrain-Trapani : accusée d’exil fiscal, elle s’exprime pour la première fois
Crédit photo : ©Instagram

Rachel Legrain-Trapani, fraîchement installée à Ibiza, fait face à une vive polémique : accusée d’exil fiscal, elle sort du silence pour répondre aux critiques.

L’ex-Miss France, dont le fils a été attaqué à la crèche, et son mari, Valentin Léonard, ont récemment posé leurs valises à Ibiza. Si ce choix de vie fait rêver certains, il suscite aussi de vives réactions. En particulier celle d’Ariane Brodier, qui a dénoncé avec ironie le phénomène des influenceurs quittant la France pour des destinations plus clémentes. Dans une vidéo Instagram, la comédienne n’a pas mâché ses mots.

« Vous avez vu, en ce moment, tous les créateurs de contenu, les influenceurs, ils partent vivre en Espagne, à Ibiza, à Bali… C’est quand même mieux que Dubaï ! », a-t-elle déclaré. Un message teinté de sarcasme, laissant entendre que la fiscalité avantageuse et le coût de la vie plus bas pourraient être les véritables raisons de ces départs. Face à cette pique, Rachel Legrain-Trapani, en désaccord avec son chéri, n’a pas tardé à réagir.

Rachel Legrain-Trapani réplique sans détour

Interpellée par ces insinuations, Rachel Legrain-Trapani a tenu à rétablir certaines vérités. Sur Instagram, elle a réagi avec fermeté. « Pour info, nous sommes 4 influenceurs français ici, je ne comprends vraiment pas l’utilité de ce post ‘humoristique’ », a-t-elle écrit. Visiblement agacée par les clichés véhiculés, elle a poursuivi : « Les clichés… Toujours plus faciles à partager que les vérités ! Pour info, s’expatrier ne veut pas dire s’exiler fiscalement – d’ailleurs, nos sociétés sont en France, et on y paie nos impôts comme tout le monde, même sans y vivre.« 

Elle a également tenu à démonter un autre argument souvent avancé. « Quant aux nounous, spoiler alert : c’est le même prix qu’en France. Mais bon, si certains préfèrent fantasmer sur la vie des autres plutôt que de s’occuper de la leur, libre à eux ! », a-t-elle avancé. Un message tranchant, qui vise à couper court aux spéculations. Pour elle, ce débat n’a pas lieu d’être et relève davantage du fantasme que de la réalité. Et Rachel Legrain-Trapani n’est pas la seule à avoir pris la parole.

L’influenceuse Noholita monte au créneau

De fait, l’influenceuseCamille Callen, plus connue sous le pseudonyme Noholita, a également tenu à défendre ceux qui ont choisi de s’installer à Ibiza. Dans une série de stories Instagram, elle s’est insurgée contre les accusations d’exil fiscal. « Pas une seule personne que je connais qui est installée là-bas s’est exilée fiscalement en Espagne. D’ailleurs, ça n’a rien d’avantageux », a-t-elle expliqué. Elle a aussi voulu clarifier le coût de la vie sur l’île, affirmant que les nourrices et l’école y sont plus chers qu’en France.

Selon elle, ces départs s’expliquent avant tout par une quête de bien-être. « L’ouverture d’esprit, la liberté, la nature, le calme pendant la moitié de l’année qu’on s’y est installé. Et justement pour fuir ce genre de pensées qu’on retrouve en France, c’est bien dommage… », a-t-elle concédé. Enfin, elle conclut en taclant la comparaison avec Dubaï : « Vraiment merci de ne pas comparer Dubaï à Ibiza, car il n’y a absolument rien de comparable ! ». Une manière ferme de défendre un choix de vie qui, selon elle, ne devrait pas être réduit à des considérations fiscales.

Issue d'une formation littéraire et formée aux métiers du cinéma, j'ai obtenu un Master en ingénierie culturelle puis un MBA en communication et relation médias. Cela m'a permis de me spécialiser en journalisme, plus particulièrement sur des sujets actu, sport et culture.

LinkedIn

Plus d’articles sur

0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x