Anaïs Camizuli se confie sur son accouchement
« Ma sœur vous raconte son accouchement. J’en ai des frissons, parce qu’on a vécu le même accouchement. Tout pareil, on n’est pas jumelles, mais on est très connectées. À la maternité, elle a eu la même chambre que moi. (…) On a vécu exactement la même chose. Ma soeur, je voulais dire que je suis fière de toi et de ma filleule. Vous avez été deux guerrières comme on l’a été Kessi et moi », révèle Anaïs Camizuli à ses abonnés. Pourtant, jusqu’ici elle avait estimé qu’elle ne devait jamais raconter son accouchement.
Si le terme de Manon Camizuli était prévu pour le 19 juillet, elle a finalement accouché le 22 juin. Mais elle a « fissuré la poche des eaux et a perdu le bouchon muqueux« , deux signes que l’accouchement doit être anticipé. Alors, elle a foncé à la maternité avec son chéri Nicolas. « Quand vous perdez la poche des eaux, ils sont obligés de vous garder parce qu’il y a un risque infectieux », a-t-elle expliqué. C’était donc le début d’un long travail…
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L’accouchement de Manon rappelle des souvenirs à sa sœur
La sœur d’Anaïs – qui a quitté l’agence We Events – a poursuivi : « Au moment du monotoring, on s’est rendu compte que la petite n’avait pas aimé une contraction, son coeur s’est ralenti. On m’a gardée pour la nuit donc. On a fait un test pour savoir si j’avais fissuré la poche et c’était le cas. Donc je devais avoir un déclenchement dans les vingt-quatre heures« . Puis, samedi 21 juin, les sages-femmes ont essayé de déclencher par tampon : elles ont essuyé un échec.
Du coup, la décision de faire un déclenchement par gel a été prise. « Première tentative, rien. On était dimanche. (…) Le deuxième gel a été mis à 18h et, un peu après, j’ai passé les pires heures de toute ma vie. J’ai eu de terribles contractions et la petite ne les supportait pas. (…) Son coeur ralentissait« , a expliqué Manon. On lui a posé la péridurale aux alentours de 23h et le personnel soignant a surveillé le cœur de sa fille. Toutefois, vers 1h du matin, son cœur a commencé à ralentir : elle a donc été transporté au bloc pour avoir une césarienne d’urgence. Sa fille, Meylie, est née et se porte à merveille aujourd’hui. Peut-être qu’elle suivra les traces de sa soeur et retrouvera son corps d’avant grossesse.
Et vous, que pensez-vous de son récit ?