Anaïs Camizuli : accusée de maltraitance envers sa propre fille, elle répond

Anaïs Camizuli : critiquée sur son rôle de mère pour avoir lissé les cheveux de sa fille

Maman d’une petite fille de 3 ans, Anaïs Camizuli est au cœur d’une énorme polémique. En effet, la candidate a récemment emmené sa fille Kessi chez le coiffeur afin de lui faire faire un soin lissant.

Très vite, une première internaute se dit ‘choquée’ par le choix de la jeune maman. La vidéo TikTok fait le buzz et revient aux oreilles d’Anaïs qui ne mâche pas ses mots. « On m’envoie depuis hier la vidéo de cette comique qui fait une vidéo sur le fait que j’ai fait un soin lissant à ma fille !! Déjà de 1 c’est ma fille et je fais ce que je veux ! Mais ce qui me fait le plus de peine dans le monde d’aujourd’hui c’est que les gens ne savent plus quoi faire pour percer sur les réseaux. Elle est choquée et c’est un truc de fou elle a dit !!! Ma belle, tu n’as pas fini d’être choquée à ton jeune âge ! »

Mais visiblement, ce n’est que le début des ennuis pour l’ancienne candidate de Secret Story. Depuis, c’est la porte ouverte aux critiques sur les réseaux sociaux. Plusieurs autres femmes se sont ainsi permises de remettre en cause le rôle de maman de l’influenceuse sur la Toile. Et certaines vont très loin dans leurs propos.

Anaïs Camizuli : rac.iste et maltraitante envers sa fille de 3 ans ?

Après avoir sous-entendu qu’Anaïs Camizuli ne serait pas une bonne mère pour sa fille, voilà qu’elle serait rac.iste, voire pire : maltraitante.

En effet, toujours sur TikTok, une nouvelle jeune femme donne son avis sur le lissage de Kessi. « Qui est surpris ? Je n’ai rien du tout contre les couples mixtes, mais à partir du moment où tu vas te mettre avec quelqu’un d’une autre communauté et qu’il est possible que ton enfant ait un autre type de cheveux, que tu n’as pas ou que tu n’as jamais eu à gérer : renseigne-toi. L’enfant, c’est un bébé encore et tu lui imposes les complexes de la société. Tu lui imposes ta bêtise, c’est de l’ignorance. »

En légende de sa vidéo, elle écrit : « Franchement, c’est limite de la maltraitance pour moi, tu ne peux pas faire ça à ton enfant sincèrement. »

Profondément agacée, celle dont la fille était hospitalisée ne peut pas rester sans rien dire. Dans une longue story, elle répond : « Je vais essayer de garder mon sang-froid, de ne pas m’énerver parce que vous me fatiguez depuis hier. (…) Tu sous-entends que je maltraite ma fille, il y a écrit ‘maltraitance’. On ne va pas en rester là toutes les deux. Déjà, je t’arrête tout de suite, je suis métisse, toute ma famille est réunionnaise, toute ma famille est métisse. »

Anaïs Camizuli : accusée de rac.isme, elle voit rouge

Elle poursuit : « Ensuite, j’ai rencontré mon mari, je suis tombée amoureuse. (…) Pardon, ça ne m’est pas venu à l’esprit de me dire ‘attends, ne te mets pas en couple avec lui. Parce que si tu fais un enfant, ta fille va avoir les cheveux afros. Mais du coup tu ne sais pas comment les coiffer’. (…) Ensuite, tu parles d’ignorance, tu es toi-même ignorante. Avant de parler de mon enfant et de ce que je fais à mon enfant, tu ne sais pas ce qu’il s’est passé avec ma fille. Pourquoi, j’en suis arrivée à lui faire un lissage. »

Puis celle qui se confiait sur sa vie amoureuse explique : « Je vais encore raconter ma vie, je suis séparée du papa de ma fille qui lui ne sait pas la coiffer. Et quand il l’avait 2-3 jours, quand Kessi revenait à la maison, c’était très compliqué de lui démêler les cheveux parce qu’elle avait beaucoup beaucoup de nœuds. (…) Elle avait tout le temps les cheveux plaqués, elle avait des trous. Voilà pourquoi j’ai opté pour cette solution. Donc, si ça ne te convient pas et que tu penses que je la maltraite, viens tous les jours à 7 h 30 la coiffer. »

Quant à ceux qui s’inquiéteraient de l’épanouissement de la jeune Kessi, Anaïs répond : « À l’heure d’aujourd’hui ma fille se trouve très belle. Elle se lave les cheveux toute seule. Elle se coiffe toute seule. Et à cause de vos vidéos, je me fais harceler parce que vous dites que je suis rac.iste, que je maltraite mon enfant. (…) Le buzz que vous essayez de faire, ce n’est pas bon. Vous êtes jeune, vous ne connaissez rien à la vie et puis vous n’êtes pas maman. On en rediscutera quand vous aurez un enfant. Pour le moment, ce n’est pas le cas, vous êtes des enfants. Lâchez-moi, lâchez ma fille, lâchez son lissage. (…) Je vais continuer. »