Ayem Nour : toujours coincée au Maroc en raison de son ex, elle s’exprime

Ayem Nour : toujours coincée au Maroc

Cela va faire des semaines que la mère de famille vit un véritable calvaire. Au Maroc depuis des semaines, elle est dans l’incapacité de rentrer en France avec son fils. Et pour cause, le père de ce dernier refuse de rendre ses papiers.

Résultat, ils ont passé les fêtes de fin d’année, coincés dans leur chambre d’hôtel. Une situation qui pèse énormément sur le moral de l’influenceuse. Lors d’une nouvelle session de question/réponse, Ayem donne de ses nouvelles.

Un internaute lui demande notamment : « Tu le pensais aussi tordu ? » Celle qui dévoilait un audio de son fils en détresse rétorque : « Pas une seule seconde je n’ai pu pensé qu’il serait capable de telles atrocités. Me faire du mal à moi c’est une chose, mais priver notre fils de retourner chez lui, en France. Le privé de son école, de ses camarades, de son chien, de ses habitudes, bref de sa vie. Je ne pensais pas qu’il serait capable de ça. On croit connaître les gens, mais je vous assure, on ne connaît personne. (…) Je lui souhaite de retrouver la raison et que Dieu apaise son coeur. Notre fils ne s’en portera que mieux de voir des parents agir dans la bonne entente. »

Ayem Nour : elle donne de ses nouvelles depuis le Maroc

Un autre internaute lui demande si l’influenceuse a besoin de quoi que ce soit : « Du passeport de mon fils et de notre libérté… mais je doute que tu puisses faire quelque chose. Merci dans même. Merci pour tous vos messages plus touchants les uns que les autres. »

Ensuite, un énième abonné lui a demandé si Vincent Miclet (qui aurait fait d’autres victimes) venait rendre visite à leur fils. Et Ayem de répondre : « Non, il ne vient pas. Mais c’est son choix car il a l’adresse. Il n’appelle pas et ne souhaite répondre ni aux messages, ni aux appels. Il ne communique que par avocat, c’est tellement plus chic. »

Finalement, la mère de famille qui a le moral au plus bas réagit à un autre follower qui se demande comment elle va. « On se bat comme on peut ».