Emilie Nef Naf compare son aventure dans Secret Story au confinement

Emilie Nef Naf est confinée avec ses deux enfants

La jeune femme s’est faite connaître il y a plusieurs années déjà dans la saison 3 de Secret Story. C’est également cette même année que le public a fait le connaissance de la sulfureuse Cindy Lopes. Maman de deux enfants aujourd’hui, elle a récemment taclé Benjamin Castaldi. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’y est pas allée de main morte.

« Il était derrière son prompteur, moi, je n’étais avec personne. Il ne s’intéresse à rien d’autres qu’à son prompteur. Je trouve qu’il est très arrogant, fils à papa, insultant, hautain. Ah non ! Je ne peux pas le blairer ! Ce mec m’a énervée. C’est vrai que je m’amusais à l’allumer un peu lourdement quand j’étais candidate de Secret Story, mais ce mec est très hautain. Vous savez ce genre de mec arriviste. Il n’a aucun talent, il est nul. »

Et tout comme Cindy Lopes, Emilie Nef Naf est une maman solo. Après une idylle de 5 ans avec le père de ses enfants, Emilie s’est séparée du joueur de foot, Jérémy Menez. Une séparation dont elle a beaucoup souffert. »On a fait les choses très mal. On avait tous les deux la tête ailleurs, et directement on s’est mis avec deux autres personnes différentes. Au lieu de rattraper l’affaire, on s’est chacun dit : ‘Allez ça ne va plus, c’est bon fais ta vie’. On était chacun très fier et c’est parti en cacahuètes total (…) On s’est blessés mutuellement » confiait-elle à Sam Zirah.

Emilie Nef Naf compare le confinement à son aventure Secret Story

Confinée avec ses deux enfants, l’ancienne candidate de télé-réalité tente de les occuper comme elle peut. Interrogée par TV Mag, Emilie révélait qu’elle faisait leurs devoirs avec eux le matin, avant de jouer et de regarder la télévision le reste de la journée.

Pour elle, la situation est à quelques choses près ce qu’elle a vécu durant Secret Story. En effet, les candidats ne pouvaient pas sortir de la villa. D’après elle, le seul point positif était qu’ils pouvaient se lever à l’heure qu’ils voulaient ! La production leur proposait des activités et ils passaient le reste du temps à se raconter des potins.

En revanche, c’était plus difficile lorsqu’il ne faisait pas beau. Ils n’avaient pas accès aux infos, à Internet ou quelconque média, ainsi les journées pouvaient être particulièrement longues. Et de continuer que si elle avait 18 ans et vivait avec 4 autres filles en colocation, sans enfants aujourd’hui, ce serait la même chose !