Maeva et sa mère : un duo de choc
Voilà un programme très attendu par les téléspectateurs : C’est la famille ! On va pouvoir découvrir le quotidien de nombreux candidats de W9 et plus particulièrement les marseillais. Les caméras les ont suivis dans leur vie pour toujours plus de transparence.
Jessica et Thibault se sont d’ailleurs confié à ce sujet à nos confrères de Voici. « Ça va montrer notre vie de l’intérieur, chez nous ! Les caméras viennent à la maison. On montre des choses sur les réseaux sociaux mais nous décidons quand appuyer sur le bouton. Là, la caméra est chez toi, elle te suit donc ça va montrer une autre image et un autre contexte de vie. Ça va montrer ce qu’on fait à la maison du matin au soir. Je trouve ça génial. J’espère que ce programme va plaire », a déclaré la jeune femme. Tandis que son époux a ajouté : » On nous voit travailler et je suis très content qu’on voit cette facette de nous. On nous voit tout le temps faire des codes promos et les gens ne se disent pas que derrière, il y a du boulot, on a des sociétés, des employés. On bosse tout simplement comme des gens normaux. C’est ce qui est intéressant dans ce programme, on nous voit vivre normalement, emmener nos enfants à l’école, les éduquer. »
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Maeva Ghennam : recadrée par sa mère
Dès le premier épisode, on a pu voir Maeva Ghennam aux côtés de sa mère. Elles ont notamment évoqué le départ d’Akram (qu’elle a récemment humilié) de chez elle. Ami et assistant, le jeune homme faisait absolument tout pour elle. Tant et si bien que Maeva n’a jamais considéré que prendre des cours d’anglais serait primordial. « J’ai passé la pire des périodes. J’ai tout perdu en quelques jours. Je me suis sentie abandonnée. J’ai dû tout reprendre, apprendre l’anglais… C’était lui qui gérait tous mes papiers« , a-t-elle confié à sa mère.
Forcément, cette dernière a réagi : « Tu as trop délégué à Akram ». Avant d’ajouter : « Quand tu es venue t’installer à Dubaï – déjà, je ne voulais pas que tu t’installes ici. Je t’avais dit que la première chose à faire, c’était que tu apprennes l’anglais. En presque deux ans à Dubaï, tu n’as même pas appris un mot d’anglais« . Pour la mère de la jeune femme, ce départ est « un mal pour un bien. Tu apprends ». Maeva (qui n’a plus confiance en personne) se trouve seule et aimerait avoir un compagnon avec qui tout partager, même l’achat d’une maison. Sa mère conclut : « Oui, c’est dur, je le conçois, chérie, mais ça va t’apporter plus d’assurance« .