Un placement de produit qui dérange ?
Si Léna fait parler d’elle aujourd’hui, c’est parce que la chérie du footballeur Adil Rami a fait un placement de produit il y a peu qui ne passe pas du tout ! En effet, durant la journée de la femme, la jeune candidate a partagé un produit pour combattre la cellulite à l’aide de ventouses. Mais ça n’est pas du tout passé inaperçu et la jeune femme a vite été accusé de donner des complexes aux femmes en cette journée si importante. Elle n’est d’ailleurs pas la première à faire la une après un placement de produit dérangeant. Pour rappel, Sarah Fraisou s’est énormément faite critiquer après avoir fait la promotion de gélules pour « resserrer le v*agin. »
Très remontée contre ces critiques, Léna a tenu à mettre les choses au clair. En story elle explique tout d’abord. « Petit coup de gueule, mais vraiment très léger. Hier donc du coup c’était la journée de la femme… oui journée des droits des femmes, journée de la femme je m’en fous. Et effectivement j’étais en collaboration avec Cellublue, donc j’ai fait des stories concernant cette entreprise, qui permet d’enlever la cellulite grâce à des ventouses…etc. Je me suis faite insulter ! « Mais comment toi féministe comment tu peux oser faire ça en cette journée ?«
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Avant de pousser un coup de gueule : « Mais en fait c’est vous, clairement votre féminisme est éclaté au sol. Parce qu’en fait une fille si elle est complexée elle est complexée. Si elle envie de régler ses complexes, elle règle ses complexes. Vous voyez ce que je veux dire ? Je ne suis pas en train de dire la cellulite c’est mal. »
Puis de finir sur une mise au point : « Justement si vous avez bien regardé mes stories à un moment donné je le dis, je dis si vous êtes très bien comme vous êtes eh bien continuez et c’est vous qui avez raison. Donc en fait juste les gens qui ouvrent leur bouche pour rien c’est quelque chose que je ne supporte pas. Et si une nana est complexée et qu’elle a envie de régler ses complexes et bien qu’elle les règle. En fait justement le féminisme c’est chacune voit midi à sa porte, et chacune fait comme elle l’entend. Voilà. »
