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Maeva Ghennam : taclée par Cloé Cooper sur la qualité de ses placements de produit

par Samantha Martins

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Crédit photo : "Elle peut proposer 4 m*rdes par jour..."

Dans une interview avec Sam Zirah, Cloé Cooper évoque son nouveau travail d’influenceuse en tant qu’indépendante. Elle tacle au passage sa collègue, Maeva Ghennam.

Cloé Cooper : elle ne travaille plus avec les agences d’influenceurs

Comme tous les candidats de télé-réalité, Cloé Cooper vit en partie des placements de produit. Jusqu’à récemment, la jeune femme travaillait avec l’agence We Events. Mais après avoir critiqué la marque de shampooing de son dirigeant, Wesley Nakache, elle a pris la décision de se lancer en tant qu’indépendante.

Interviewée par Sam Zirah En Toute Intimité, Cloé est revenue sur leur dispute. « Deux mois avant de quitter l’agence, je partais dans Les Anges, je m’étais refait ma couleur et là mon cheveu a cassé, a brûlé. On m’a dit : « Ce sont les produits que tu as utilisés, ça a empiré. […] Mon cheveu a pété à la racine. » D’ailleurs, ce n’est pas la première candidate à perdre ses cheveux avec un placement de produit. 

Accusée de cracher dans la soupe par Wesley Nakache, Cloé a une réponse toute trouvée : « Tu n’as pas d’influenceuse, tu n’existes pas. » Afin d’être en accord avec les produits qu’elle promeut, Cloé préfère désormais travailler directement avec les marques. « Je préfère avoir peu d’abonnés, mais par contre qui ont confiance en moi, avoir une crédibilité envers eux, plutôt que de travailler avec des gens comme ça. » C’est ainsi qu’elle s’est notamment rendu compte que son ancien agent se serait fait de l’argent sur son dos. « A l’époque, il a demandé 800 € à la marque et il me donnait 150 €. »

Cloé Cooper : elle critique la qualité des placements de produit de Maeva Ghennam

Aujourd’hui indépendante, Cloé fait seulement appel à une assistante pour l’aider dans la validation des marques. « Je valide chacune des marques, rien ne m’est imposé » explique-t-elle.

« On fait tout, tous les échanges avec les marques. Des fois on les démarche. Moi, je n’en suis pas encore là parce que j’ai suffisamment de demandes pour ne pas avoir besoin de les démarcher. La marque prend contact, il faut établir un planning, il faut établir un budget ensemble, après il faut les envoies, etc. C’est du travail, il y a de la négociation, il y a du « service après-vente » entre guillemets. Une fois que j’ai fait mes stories ils veulent des retours donc il faut leur envoyer les stories, les vues qu’elles ont faites, les clics sur le lien. Tout ça. »

Ce qui est bien différent de ce qu’elle pouvait faire en agence avant. « Avant je me réveillais le matin j’avais un texto me disant : « Aujourd’hui tu fais ça ». J’avais un texte que je devais apprendre par cœur et je le récitais sur Instagram. Là j’apprends à vraiment connaître les marques etc. […] Je refuse tout dropshipping. »

Et de tacler Maeva Ghennam au passage : « Je ne suis pas Maeva Ghennam. Elle peut proposer quatre merdes par jour, les gens continueront de la suivre parce qu’elle fera trois télés dans le mois tu vois ? Façon de parler mais elle sera toujours là, elle fera toujours des vues, peu importe. Moi non. » Est-ce que la jeune femme répondra à son tacle comme la dernière fois ? Affaire à suivr.

Passionnée d'écriture et de l'univers du digital, je me suis formée à la rédaction web. Désormais je décrypte quotidiennement le monde fou de l'influence, pour votre plus grand plaisir.

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