Maeva Martinez : jalouse de Nabilla, Jazz, Jessica Thivenin, les ‘mamans parfaites’

Maeva Martinez : au bout du rouleau, elle se fait vivement critiquer par son ex

Il y a presque quatre mois, Maeva Martinez a donné naissance à son premier enfant : un petit garçon appelé Gabriel. Si devenir maman est une expérience incroyable, c’est aussi un boulot à plein temps qui n’est pas de tout repos. Justement, du repos, Maeva Martinez en a manqué durant des semaines.

Maman d’un bébé atteint de reflux gastro-œsophagien, le petit Gabriel a empêché Maeva de dormir durant deux mois. Quant à son couple, la jeune femme reprochait à son mari de ne pas s’investir suffisamment dans son rôle de père. C’est effectivement ce qu’elle a confié dans une interview donnée à Sam Zirah.

Résultat : Maeva a fait une dépression post-partum. Au bout du rouleau, elle avait fait une apparition très remarquée sur les réseaux sociaux. « J’ai envie de me pendre ! Mais c’est la vérité ! Je suis en crise là… On parle de dépression post-partum, mais très sincèrement c’est le fait de ne pas dormir qui fait p*ter un boulon ! C’est chaud de ne pas dormir ! Ça fait deux mois et demi que je n’ai pas dormi. Je commence à être en dépression, je n’y arrive plus… Je n’en peux plus ! » Son ex Marvin Tilliere – condamné depuis pour harcèlement – ne s’était pas gêné pour la critiquer d’ailleurs.

Maeva Martinez : jalouse de Jazz, Nabilla et Jessica Thivenin

Même si la jeune maman va beaucoup mieux désormais, la vie de maman n’est pas un long fleuve tranquille pour autant. Et les réseaux sociaux n’arrangent rien. En effet, la candidate de Mamans & Célèbres avoue culpabiliser devant les comptes Instagram de certaines « mamans parfaites. »

Jazz, Nabilla ou encore Jessica Thivenin : Maeva Martinez est jalouse de leur vie de rêve à Dubaï. Vivant à Nantes où les restrictions sociales empêchent encore de faire quoi que ce soit, il n’est pas évident de garder le moral !

« Je n’ai pas de piscine, je ne vais pas au restaurant, je n’ai pas le temps de prendre des photos de famille et eux, leur fils il est en joie (…) Bien sûr que je culpabilise, ça me saoule, je deviens même jalouse ! » On comprend la frustration.