Maeva Martinez se confie sur son rôle de maman
Être maman c’est une étape extrêmement difficile. Même si cela est synonyme de bonheur, les débuts sont parfois – voire souvent – chaotiques. Ce qui est normal car il faut appréhender ce nouveau rôle et apprendre à connaître son enfant. Et puis, il y a la fatigue qui vient s’ajouter à cela. Rappelez-vous, c’est exactement de cela dont parlait Mélanie Dédigama l’été dernier. Transparente, elle a toujours parlé sans fard de son quotidien de jeune maman : « Qu’est-ce que c’est dur les pics. Alors avant c’était le reflux, après les gazs, et maintenant c’est les pics. Mais ça ne s’arrête jamais en fait ! Ça ne s’arrête jamais ! C’est un truc de ouf, je vous jure c’est trop dur. »
Cette fois, c’est Maeva Martinez qui entrée dans ce cercle privilégié qui fait face à la fatigue. Cette dernière a accouché début janvier d’un petit garçon prénommé Gabriel. « Aucun mot n’est assez puissant pour décrire ce que l’on ressent à la rencontre de notre fils Gabriel... Nous sommes heureux de vous présenter ce bout d’amour né à 38 semaines, 48cm et 2,835kg. Il se porte à merveille. Je suis tellement heureuse et comblé de bonheur !! Aussi, vous allez le découvrir dans quelques instants, une nouvelle aventure va bientôt commencer entre vous et nous. Merci infiniment encore pour vos milliers de messages d’amour. » Après quelques semaines, Maeva est au bout du rouleau et elle s’est livrée à se communauté.
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Maeva Martinez est épuisée
Il y a quelques jours, face caméra, Maeva Martinez – qui s’est récemment mariée en secret – s’est livrée sur les difficultés de son nouveau quotidien. Les pleurs de son bébé la rendent triste et elle a confié que cela était de plus en plus dur : « Psychologiquement ça commence à devenir très difficile (…) je pleurais de fatigue, le petit pleurait et je pleurais ».
Voir son bébé souffrir n’est pas chose aisée et cela peut chambouler toute maman. Au point de se sentir impuissante. C’est ce qu’a vécu ces derniers jours Maeva se retrouvant face à son fils qui ne se sentait pas bien : . « Je ne saisis pas ce qui ne va pas et s’il a mal quelque part (…) je me sens incomprise et pas suffisamment soutenue ». Heureusement, elle peut compter sur sa communauté qui l’a rassurée et lui a donné beaucoup de conseils.
On espère que tout rentrera vite dans l’ordre !