Les candidates emploient du personnel à Dubaï
Dubaï est le nouvel eldorado des candidats de télé-réalité. En plus de leur passages à la télévision, certains ont créé des business sur place. Comme Maeva Ghennam qui a créé avec Boli – avec qui elle serait en couple – une société de location de voitures. Ou encore Jazz et Laurent qui ont le Yacht Club, sur lequel ils organisent des soirées. Malheureusement, certains de leurs employés se sont récemment plaints d’eux sur les réseaux sociaux.
Une jeune femme a raconté via le compte @fakeinfluenceurs : « J’ai travaillé des soirées complètes (19h-4h), non stop, aucun contrat n’a été établi. La manager m’a dit qu’à Dubaï on pouvait travailler sans contrat, ce qui m’a fortement étonné. Je continuais à bosser car je me disais c’est Jazz ma boss, elle va pas nous arnaquer. La deuxième semaine on a tous été virés comme des m**des et pas payés !! Sous prétexte qu’à Dubaï qu’il faut travailler au minimum un mois pour avoir un salaire ». Une information à prendre avec des pincettes.
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Manon Tanti : face à sa femme de ménage attristée
Mais les candidats ont également pour la plupart du personnel de maison. Cuisiniers, nannies, femmes de ménages : ils recrutent afin d’alléger leur quotidien. Beaucoup dévoilent les relations qu’ils entretiennent avec ces derniers. Comme lorsque Mélanie Dedigama a décidé de renvoyer sa nanny et que cela a provoqué une vague de commentaires négatifs sur ses réseaux sociaux. De son côté, Manon Tanti a également une femme de ménage.
Ces dernières heures étaient particulièrement dures pour elle puisqu’elle est en deuil. C’est Manon qui s’est livrée à ce sujet sur son compte Snapchat. La jeune maman ne sait pas comment faire pour l’aider et a sollicité les recommandations de ses abonnés. « J’ai un petit moral. Ma femme de ménage a perdu quelqu’un. Je ne sais pas quoi faire… J’aimerais vraiment lui changer les idées. Je lui ai proposé de lui prendre un billet d’avion pour aller à l’ent*rrement mais elle ne veut pas », a-t-elle d’abord confié. Avant d’ajouter : « Si vous avez des idées … ça m’attriste ! ».