Raphaël Pépin : c’est officiel, il part vers la zone de conflit en Ukraine

Une guerre dévastatrice

Depuis que le président Vladimir Poutine a décidé d’envahir l’Ukraine il y a un mois, de nombreuses personnalités ont témoigné leur soutien au peuple ukrainien. Et de nombreux experts se sont par la suite exprimés afin d’expliquer le conflit. Chez Gossip Room, nous avions reçu pour une interview le célèbre Sergueï Jirnov, ancien espion du KGB qui vient de sortir un livre intitulé « L’Éclaireur. »

Ce dernier avait alors dévoilé des détails stupéfiants concernant le célèbre dictateur Vladimir Poutine. « On est entrés la même année dans l’école qui prépare les espions, qui s’appelle Institut Andropov. On ne savait pas qu’il allait devenir un dictateur parce que c’était un mauvais élève, c’était un élève très moyen. Alors, ce qu’on savait déjà, et ça, c’est quelque chose de… de très important. » Explique-t’il tout d’abord.

Des révélations fracassantes

Avant d’ajouter : « Parce que quand il a fait ses études, donc il a fait une année d’étude, et à la fin de l’année d’étude il y a une évaluation. Et l’école a mis dans cette évaluation : « M. Poutine n’a pas le sens du danger. Il n’a pas peur. Il n’arrive pas à comprendre quand c’est dangereux ou pas dangereux. Et donc, il représente un danger pour lui, et pour nous. Et nous n’en voulons pas. » Et lui, il a gardé ça, il a gardé de la rancune. Mais pourtant, cette qualification du service d’espionnage s’est révélée juste. Parce que maintenant, quand il sort les armements nucléaires et quand il menace le monde entier avec la Troisième Guerre Mondiale, ben, là, on sent qu’il a… il est… il n’est pas bien, quand même. »

Il expliquait ensuite : « En principe, quand Poutine dit est-ce qu’il veut conquérir l’Ukraine et après la conquête il veut aller plus loin ? Il dit non. Le problème, c’est que Poutine c’est un menteur professionnel. Il a été aussi au KGB même, où même il a été formé comme espion, et où on forme à mentir tout le temps et donc on ment comme on respire. Par exemple, quand il a amassé les troupes à la frontière avec l’Ukraine, il disait : « Non, non, non. Je ne veux pas envahir l’Ukraine. » là il est en Ukraine. Mais en même temps il a dit : « Je voudrais reconstruire l’Empire Russe, la Grande Russie. » (…) Donc personne ne sait, et vu le personnage, on a plutôt des doutes qu’il s’arrête si jamais on ne lui dit rien. »

Deux célèbres candidats se rendent en Ukraine

Mais ce n’est pas tout ! Toujours selon Sergueï Jirnov, le président Poutine serait très… ‘particulier’. « Poutine c’est quelqu’un qui est particulier, donc il y a beaucoup de pays qui en ont marre de lui parler, qui n’arrivent plus à lui parler. Et le Président Macron a dit : « Je lui parlerai toujours, même si on n’est pas d’accord. » Et donc dans ce sens-là c’est… c’est une bonne chose. En revanche, on ne peut pas dire qu’en parlant à Poutine il arrive à le convaincre. Et on a vu, par exemple, dans le conflit avant la guerre que le président Macron est allé à plusieurs reprises en Russie, il a téléphoné à plusieurs reprises à Poutine, et on a compris qu’en fait le Président Poutine l’a baladé, tout simplement. Je suis très inquiet… »

Et dans cette guerre qui fait rage, certaines célébrités ont décidé d’aider ! Et parmi elles, Raphaël Pépin, célèbre candidat de télé-réalité en France mais aussi Maxime Merkouchenko, que nous avions découvert dans la Bataille des Couples avec sa chérie Valerya. À l’annonce de l’invasion, Raphaël Pépin avait déjà pris la parole pour se confier : « Ça peut paraître dingue hein, mais je ne rigole pas. J’ai envie d’aller en Ukraine. Alors je ne sais pas comment je vais faire, ça fait 4 jours que j’y réfléchis. En Ukraine, ou aller en Pologne aider les réfugiés, mais du plus profond de mon coeur je crois que je vais faire quelque chose, pour le coup. On va voir. Il faut que je vois avec Maxime Merkouchenko. »

Raphaël et Maxime se rendent en Ukraine pour aider les réfugiés

Très vite après, il avait donné quelques nouvelles : « On va sûrement partir tous les deux à la frontière ukrainienne, en Pologne ou en Hongrie. On risque de partir tous les deux, avec une association pour aider les personnes réfugiées (…) On aura peut-être besoin de l’aide de tout le monde. C’est pour ça que je me permets d’en parler » Et il semblerait que Raphaël et Maxime ont enfin mis leur plan à exécution. Il y a quelques heures, les deux amis ont pris la route pour rejoindre la Slovaquie, à la frontière ukrainienne, afin d’aider les réfugiés sur place. En plein trajet, Raphaël s’exprime : « Nous sommes en direction de l’Ukraine, la frontière du moins. Là on a peut-être 12, 13 heures de route, on va arriver ce soir à Budapest. » Déclare-t’il tout d’abord.

Avant d’ajouter : « Là on y est ! Il y a ceux qui parlent et ceux qui agissent. Et nous, on est de ceux qui agissons. Et on y est, on y est messieurs dame. » À ses côtés Maxime ajoute : «  On ne peut plus faire marche arrière. » Nous leur souhaitons beaucoup de courage dans leur démarche !