Vaimalama Chaves recadrée par Sylvie Tellier : ‘C’est pas très Miss de dire ça’

Vaimalama n’a pas sa langue dans sa poche

Quand Vaimalama Chaves est devenue Miss France, Matthieu Delormeau n’a pas forcément été gentil avec elle. L’ex-Miss France est alors revenue sur le sujet dans l’émission Chez Jordan, pour Télé-Loisirs. « Je n’aime pas particulièrement Matthieu Delormeau », a-t-elle confié au journaliste. Elle a expliqué : « Il a déblatéré pas mal de choses vraiment sales. En soi, je m’en fiche ! Par contre, quand ma mère a pleuré à cause de ça, quand beaucoup de personnes se sont senties sales à cause de ça, j’ai trouvé ça vraiment très petit, très déplacé ».

D’ailleurs, elle en a profité pour lancer une invitation à Matthieu Delormeau : « Je t’invite à prendre contact avec moi pour qu’on puisse échanger à ce sujet. Puisque c’est ton problème, c’est toi qui dois me contacter ». Sauf que celui qui s’est clashé avec Delphine Wespiser a avoué ne pas se rappeler de ce qu’il a pu dire d’offensant : « Si j’ai bl*ssé sa maman, je m’en excuse. Je n’ai pas le début d’une idée de ce que j’ai dit sur elle ». 

Sylvie Tellier recadre Vaimalama !

Durant cette même interview, Vaimalama (dont le chéri a eu un accident) a raconté avoir eu un accrochage avec Sylvie Tellier. Cela faisait suite à leur passage dans l’émission de Laurent Ruquier, On n’est pas couché, en janvier 2019. Ce dernier avait balancé : « Vous qui nous regardez en ce moment dans votre lit, pour relancer la natalité, nous avons invité ce soir notre Miss France, ça devrait vous donner des idées. »

Mais cette remarque n’avait absolument pas plu à l’ex-Miss France qui l’avait fait savoir dans les colonnes du Parisien. « Du coup, j’étais partie dans Le Parisien pour dire que je ne trouvais pas sympa qu’il invite la France à se br*nler sur l’image de Miss France. J’avais dit le mot ‘br*nler’ au lieu de ‘masturber’, et donc ça a clashé. Elle m’a dit : ‘C’est pas très Miss de dire ça‘ », a-t-elle raconté, même si elle reconnait que Sylvie Tellier avait raison. Aujourd’hui, Vaimalama peut vivre comme elle l’entend sans se soucier d’heurter qui que ce soit : « Comme j’ai grandi en Polynésie, loin des valeurs métropolitaines et des us et coutumes d’ici, j’ai beaucoup de latitude dans ma façon d’être. Aujourd’hui, je n’ai plus de cadre. Je suis beaucoup plus libre d’exister telle que je suis vraiment ».

 

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