Valérie Damidot se confie sur son passé
En ce moment, des histoires de violence font la une. D’abord, il y a celle de Marie Garet, laissée pour morte par son compagnon et qui a ensuite pris la parole. Mais aussi Loana : depuis quelques jours elle et Fred Cauvin s’attaque sur les réseaux sociaux. Selon cette dernière, il l’aurait violentée durant quatre heures. Tandis que lui nie fermement en affirmant que l’ex-star de télé-réalité se drogue. Bref, quoiqu’il en soit il faut soutenir les femmes victimes de violences. Un sujet encore bien trop délicat aujourd’hui et que Valérie Damidot peut aborder. Et pour cause, elle a elle-même été victime de violences.
Alors quand lors d’une interview Jarry lui demande ce qu’elle ferait si une amie se présentait avec un cocard, la jolie blonde a répondu sans détour qu’elle appellerait la police. Elle sait de quoi elle parle et cela a surpris Jarry qui n’aurait pas pensé qu’une femme avec un si fort tempérament puisse se retrouver piéger par un homme violent: « Que ce soit les pervers narcissiques, les mecs toxiques etc. Ils n’ont pas envie de soumettre quelqu’un qui est déjà soumis, ça n’a aucun intérêt, il n’y a pas d’excitation« lui a-t-elle expliqué. Puis, elle a ajouté : « Ce sont des fruits secs et ils se gorgent de l’énergie des autres. […] Défoncer quelqu’un qui a une personnalité etc. et le réduire à néant, c’est vachement plus excitant pour ce genre de personnage ».
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Victime de violences conjugales
Valérie Damidot a su se défaire rapidement de son prédateur même si elle a confié avoir pardonné les premiers coups. En 2016, elle en disait davantage dans son autobiographie intitulée Le Cœur sur la main, le doigt sur la gâchette. On pouvait lire : « Je l’ai rencontré l’année de mes 21 ans. Coup de foudre. Le Connard était beau, sympa, drôle, brillant. (…) Peu à peu, la situation s’est dégradée. Il devenait difficile à vivre… Il piquait des colères… Je me suis retrouvée aux urgences… Je me suis sauvée à temps ».
L’animatrice s’était confiée plus longuement à nos confrères de Télé Star : « Ce type, comme tous les pervers narcissiques, a trouvé mes failles affectives… Il alternait les claques et les caresses. Ce qui m’a sauvée, c’est qu’il m’a déboîté la gueule. Quand tu passes ta vie avec une minerve ou manque de te faire étrangler, la survie entre en jeu et tu te casses« .
On est heureux de savoir qu’elle a su partir à temps.
